Dragué et transformé en sissy par le garagiste

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il y a 5 ans

A cette époque, j’étais commercial pour du matériel médical et ma clientèle était éparpillée sur toute une région. Mes nombreuses visites auprès de mes clients m’imposaient de longues heures en voiture ainsi que de faire le plein régulièrement. Pour faire ma recharge de carburant, j’allais toujours dans une station proche de chez moi.

Le pompiste, un homme âgé d’une soixantaine d’années, s’empressait toujours pour faire le plein de ma voiture, il avait toujours de la conversation, mais à chaque fois il me disait que je devais avoir beaucoup de succès auprès des filles, que j’avais de beaux cheveux semi longs et blonds et surtout que j’avais de très jolies fesses. Au fil des semaines, il insistait sur la beauté de mes fesses et me demanda souvent comment était ma petite copine, si on s’amusait sexuellement souvent, des questions comme ça, un peu plus intimes à chaque fois. Ce qu’il ne savait pas, c’est que j’avais souvent porté des vêtements un peu féminins et qu’a l’occasion, je portais les petits strings sales de ma chérie, j’adorais sentir ma petite queue dans ses strings.

Un jour, il me demanda si je conservais mes poils pubiens et sans avoir eu le temps de réfléchir, je lui répondis que non, que je me rasais très régulièrement. Sur ce, il émit un « oh…. Ça doit être très jolie à regarder et à toucher ». Je ne sais pas pourquoi mais ça commençait à me faire de l’effet et ma petite queue se gonflait, ce qu’il n’a pas manqué de remarquer au travers mon pantalon moulant.

Il me regarda et me dit « on dirait que ça t’excite que je te parle comme ça, ne dis pas le contraire, je vois une petite bosse se former dans ton pantalon. Ai-je raison ? ». Je ne pouvais pas mentir, car la bosse était vraiment visible, alors je lui avouai qu’effectivement, cette discussion m’excitait un peu.

Il termina le plein et me dit que les samedis il travaille seul car le service mécanique est fermé et il me proposa de passer lui rendre visite. Je suis parti et j’ai dû me soulager avant de retourner chez moi ….

Le samedi arriva et je décidais que c’était le bon jour pour aller faire le plein, il était environ 9 heures et tout était tranquille. Je me stationnais à la pompe et il arriva presque en courant, il me dit qu’il était certain que je viendrais. Il n’arrêtait pas de regarder en direction de ma braguette, tout en se touchant discrètement la queue. Il me demanda si je voulais bien rester un peu après qu’il ait terminé de faire le plein. A vrai dire, je n’en voyais pas l’intérêt, mais c’était plus fort que moi alors j’accepta. On entra dans le garage et m’offrit un café, il me demanda ce qui m’avait excité quelques jours avant. Gêné, je lui avouai que c’était parce qu’il parlait de sexe, du mien rasé etc.

Il me demanda s’il pouvait le voir. J’étais assez mal à l’aise mais avec un petit air autoritaire, il me rassura en me disant de ne pas être gêné car nous étions entre homme. Alors lentement je me déboutonnai et baissa un peu mon pantalon, il était très excité par la vue de mon sexe rasé. Il le trouvait beau et me demanda s’il pouvait le toucher car il avait rarement vue un sexe d’homme rasé. J’acquiesça et lentement sa main se glissa sur ma queue qui commençait à durcir. Il aimait caresser mon petit membre et me dit qu’il était très doux. Ces caresses durent stopper car un client arriva, alors mon garagiste me demanda de l’attendre comme ça. Je me mis un peu à l’écart pour que personne ne puisse me voir.

5 minutes plus tard, il revint et me dit « tu écoutes bien, tu ne t’es pas rhabillé, j’aime cela ». Il approcha sa main et commença à la glisser tout le long de ma queue. Il semblait être aux anges, puis il se pencha et commença à embrasser le bout de mon pénis.

Il le lécha doucement, je sentais que j’allais bientôt exploser car cela m’excitait énormément, mais je me suis retenu de toutes mes f o r c e s. Il me demanda si j’avais aimé et je lui répondis que oui. D’un air satisfait, il me dit qu’il voulait me voir plus régulièrement. Je quittais les lieux, encore en érection, le gland mouillé de sa salive. J’étais si excité que j’ai dû me soulager sur le chemin de la maison.

Quelques jours plus tard après plusieurs centaines de kilomètres supplémentaires au compteur, je retournais faire le plein. Il arriva avec un petit sac dans les mains qu’il me donna en me disant « ceci est un petit cadeau pour toi, ouvre-le quand tu seras chez toi et si tu reviens me voir ce weekend, j’aimerais bien que tu le portes ». Il termina le plein, me caressa les fesses et je pris la route, impatient de découvrir ce qu’était son petit cadeau. Arrivé chez moi, je regardais le contenu du sac, c’etait une petite culotte rose de fille ! Comment avait-il pu deviner mon attirance pour la lingerie ?

Le samedi arriva et j’allais le voir, bien sûr je portais la petite culotte rose. Il me demandait si son petit cadeau m’avait fait plaisir et pour toute réponse, je lui dis que je l’avais sur moi, il semblait content.

Il m’entraîna dans le garage et demanda à voir le résultat, ce que je fis. Il me demanda de retirer complètement mon pantalon, ce que je fis aussi. J’étais à moitié nu devant lui, il s’approcha et commença à me caresser devant et derrière, sa langue se faufila sous la petite culotte, il prit en bouche ma petite queue raide, tout en me caressant les fesses de ses mains. Je sentais ses doigts se faufiler dans ma raie et caresser légèrement mon anus. Il me retourna et je sentis sa langue me titiller l’anus, ne sachant pas comment réagir, je le laissai faire. J’ai entendu sa braguette s’ouvrir et il me demanda de mettre ma main sur sa queue et de la caresser. Il suffit de seulement 3 minutes pour que sa sauce se répande sur mes doigts.

C’était très étrange comme sensation, je venais de faire éjaculer un homme, moi vêtue en petite culotte. Il prit ma main souillée et la dirigea vers mon pénis, il me fit essuyer son sperme sur mon membre et sur mes fesses. Il me félicita me disant que j’étais très sage et obéissant, il me dit que quand je repasserai, il aura une surprise pour moi.

Et la fois suivante arriva, bien que mon réservoir ne fût pas encore à la moitié. Mon garagiste me remit un sac bien plus gros que la première fois. Avec un ton sur de lui, il me dit « Je sais que tu vas revenir me voir samedi matin et il te faudra porter tout le contenu du sac pour me faire plaisir, d’ailleurs passe juste avant l’ouverture, vers 7 heures ».

J’arrivais chez moi et ouvrit le sac. Il y avait des bas nylons, une mini-jupe, une chemise, une petite culotte et un soutien-gorge. J’étais très excité de savoir que cela m’appartenait et je m’empressai d’essayer le tout. Le samedi matin arriva, le garage n’était pas encore ouvert et je m’y présentais vêtu comme un garçon, mais avec mes vêtements de fille cachés dessous. Quand il me vit arriver dans ma tenue de mec, il me demanda d’un ton sec où j’avais mis ce qu’il m’avait offert. Je lui expliquais que je les portais dessous car je n’avais pas envie qu’on me voie en bas et jupe. Il ne semblait pas satisfait, il voulait me voir descendre de ma voiture « toute mignonne ». Une fois, entrés dans le garage, il m’incita à retirer mes habits afin de lui montrer comment m’allait la tenue qu’il m’avait offerte.

Il semblait aimer et s’approcha de moi, il me caressa, descendit ma culotte et commença à jouer avec mon pénis, il le lécha, le suça, alors que ses doigts se promenaient sur mon anus. Mais cette fois, ces doigts étaient plus insistants sur mon petit œillet, si insistants que l’un d’entre eux fini par me pénétrer légèrement. Il s’amusa à l’insérer de plus en plus lentement et plus profondément Il retira ma chemise, il me dit que le soutien-gorge m’allait très bien, il me complimenta disant que j’avais un beau torse mais que je devrais raser tous les poils. Il aspira mes tétons si fort qu’il laissa des marques de succion, il me retourna et commença à me lécher les fesses, je sentais sa langue et ses doigts me fouiller l’anus et cela me faisait du bien.

Il se releva et descendit son pantalon à mi genoux, sa queue pointait haut et il me proposa de le prendre en bouche, ce que je fis. Il me dit comment le sucer et le lécher, je suivais à la lettre ses conseils. Puis, il déchargea sa semence entre mes lèvres, c’était la première fois que j’avais du sperme dans la bouche. Il me tenait bien la tête en me disant d’avaler sa sauce, je n’avais pas d’autre choix alors j’ai avalé, un peu écœuré. Il me dit qu’il était bien content de moi et que j’aurais droit à d’autres surprises. Comme le garage allait ouvrir, il m’invita à partir mais il voulait me voir partir en fille, me disant que je pourrais me changer sur la route. C’est donc en tenue de fille que je repris le volant, avec le gout de sa queue et l’odeur de son sperme qui m’enivrait.

La semaine passa lentement, il faut dire que j’étais impatient d’y retourner, de découvrir ce prochain cadeau et ce que cet homme en bleu de travail allait me réserver.

Enfin, c’était samedi, le seul jour de la semaine où je pouvais faire la grasse matinée, mais cette irrésistible envie d’aller faire le plein m’aida à me présenter au garage avant l’ouverture. Content de me voir, il me donna un autre sac, il y avait de la lingerie, des collants blancs, une chemise rose et des talons noires. Il me dit « c’est avec cela que tu viendras me voir samedi prochain à l’heure de la fermeture. Je te veux habillé avec tout le contenu du sac et il est hors de question que je te vois arriver avec tes fringues de mecs pour te cacher. Lorsque tu descendras de la voiture, tu seras déjà vêtu ». Puis il retourna s’occuper de ses affaires, je compris que je pouvais rentrer chez moi. J’étais très déçu de m’être levé si tôt uniquement pour aller chercher un sac, à croire que j’espérais qu’il profite un peu de mon corps.

Le point positif était que j’avais de nouvelles fringues et que la semaine d’attente m’a permis de m’entraîner à marcher avec les talons. J’attendais avec impatience le samedi soir.

A peine la grille du garage fermée, je sortis de ma voiture, dans la tenue demandée et je marchais d‘un pas assuré en talon, jusqu’à lui. Il me félicita pour mon courage et me remercia d’avoir accepté cela pour lui.

Une fois à l’abri des regards, Il commença à me toucher partout et il fut très satisfait de découvrir que je m’étais intégralement rasé.

Il me caressa, me dévora la queue avec sa bouche alors que ces doigts s’inséraient dans mes fesses. Il aimait jouer avec mon petit trou, il le trouvait doux et chaud. Il me retourna et me pencha sur l’établi et il était derrière moi à explorer et fouiller de sa langue et ses doigts mes fesses qui aimaient cela. Mais au bout d’un moment, j’ai senti qu’il posait son pénis sur mon petit anus dilaté et mouillé de salive. Sans que je puisse dire quelque chose, je l’ai senti glisser une petite partie de sa queue en moi. Il resta comme cela sans bouger quelques secondes jusqu’à ce qu’il m’agrippât par les hanches pour pousser sa queue entièrement dans mes fesses. La sensation était étrange, une légère douleur accompagnée d’une sensation très agréable qui enflammait mon pénis.

J’avais envie que cela s’arrête qu’il se retire, mais j’avais autant envie qu’il continue, alors tiraillé par mes sensations contradictoires, je le laissai faire. Il commença à faire des vas et viens pendant de longues minutes, puis il se mit à me tenir plus fermement et à accélérer le mouvement. Je sentais sa queue se raidir encore plus, je sentais des spasmes la traverser, jusqu’à ce que je sente son éjaculation en moi. Il était en train de jouir, moi penché au milieu des outils avec sa queue en train de baiser mon cul. Il se retira et remonta son pantalon, je restais dans ma position toute étourdie par ce mélange de honte et de plaisir. Il me dit « Bien, maintenant, tu es une sissy, tu es ma sissy et à chaque fois que tu viendras me voir, je te remplirais la bouche et les fesses, maintenant que j’ai fait de toi ce que je voulais, tu peux rentrer chez toi. J’espère que tu reviendras bientôt me voir tout en sachant ce que je te ferais »

Je partis assez rapidement, une fois au volant, j’avais les larmes aux yeux me disant que je ne reviendrais plus, que c’était dégueulasse de l’avoir laissé me sodomiser jusqu’à ce qu’il m’éjacule dedans. Je sentais son sperme couler des mes fesses et mouiller ma culotte, je me sentais humilié. Mais à peine quelques minutes après, l’envie d’y retourner me démangeait.

Arrivé chez moi, je me dépêchais de me déshabiller, je pris un miroir et le positionna entre mes jambes et regarda mon anus. Comme il était un peu douloureux, je voulais vérifier que tout allait bien, et oui, tout allait bien et je pouvais voir des traces du sperme du garagiste en train de sécher. Cette vision m’excita tellement que j’ai dû me masturber pour me soulager et même après avoir jouis, je décidais que je retournerai voir mon garagiste, bien que je sache qu’il n’y aura pas que dans le réservoir de ma voiture que le plein sera fait.

Quand je retournai faire le plein d’essence, il arriva avec un sac et me dis « salut ma sissy, comment est ton cul aujourd’hui ? » J’étais gêné car d’autres clients étaient là, il commença à remplir le réservoir de ma voiture, il me regarda et murmura « toi tu es ma sissy, mon sperme a coulé dans tes fesses et tu as adoré »

Je le regardai et lui répondit « oui j’ai adoré » et lui de me dire « Porte ce qui est dans ce sac samedi matin et on va avoir du plaisir ». Je remontai dans mon auto et ouvrit le sac, il contenait des attaches cheveux, une mini robe à pois rouge, un rouge a lèvres et une couche.

Samedi matin je me rendis habillé comme il l’avait demandé et j’entrais dans le garage, il me dit « eh bien voilà, maintenant ça ne te gène plus de te vêtir en fille et que des gens puissent te voir ». Il aime les couettes que je me suis faites, le rouge à lèvres me va bien me dit-il. Il s’approcha, releva la mini robe et me dit « une couche, ça te va bien dis donc, tu es bien dans ta couche sissy ? Je lui répondis que c’est un peu inconfortable e car je préfère les vêtements serrés. Sa main était déjà dans ma couche et il me titillait l’anus et jouait avec mon pénis.

Il retira ma couche et me demanda de me pencher sur une chaise, il commença l’intrusion de ces doigts dans mes fesses, suivie de sa langue, il se releva et entra doucement son pénis entre mes fesses et une fois, bien au fond, il commença son ramonage qui devint de plus en plus brutal. Il me traitait de sissy, de cul à bites, etc. Puis, il finit par se vider en moi et resta dans mes fesses jusqu’à ce qu’il débande. Quand sa queue sortit de mes fesses, il me prit par les cheveux et me f o r ç a à prendre sa queue en bouche. C’est à contre cœur que je m’exécutais, il me traita de bonne salope, de sissy à queue, de trou à foutre. Il me fit comprendre qu’il était temps de me rhabiller et de partir.

Il me demanda de passer mardi soir à 18 heures à la fermeture de l’établissement et de choisir la tenue que je voulais …. J’avais le trac car à cette heure-ci beaucoup de gens sont sur les routes et moi habillé en fille, je ne voulais pas me faire surprendre.

Le mardi j’arrivais au garage à 18h05, il me dit que j’étais en retard et que je devrais recevoir une punition. Coiffais de deux couettes, je portais mini-jupe, petite culotte, soutien-gorge, chemisier et rouge à lèvres. J’avais mis des talons, mais c’est avec difficultés que je marcher avec, tellement ils étaient hauts.

Il me félicita pour mon choix vestimentaire et me déclara qu’il avait une surprise pour moi mais d’abord il devait me bander les yeux. Une fois les yeux couverts, il prit ma main et me demanda de le suivre. Puis, il me fit mettre les mains sur l’établi de travail et me demande d’écarter les jambes, ce que je fis. Il commença à me caresser les fesses, comme à son habitude, ainsi que ma queue, et là il me dit que je méritais une correction pour être arrivé en retard, il descendit ma petite culotte a mi- jambes et soudain sa main commença à me claquer les fesses. Tu mérites 20 claques aujourd’hui pour ton retard, me dit-il. Ses claques me font mal et me font monter les larmes aux yeux.

Une fois le supplice terminé, il me fit me pencher en avant. Je sentais des mains me toucher les fesses et une langue me fouiller les fesses, le touché était différent que d’habitude. Il continua de parler quand je réalisai qu’il ne pouvait pas parler tout en dévorant mon anus. Très vite, je reçu un pénis dur dans la bouche, un sexe qui commença à aller et venir alors qu’au même moment, une autre queue bien plus grosse commençait le même manège dans mes fesses, ils étaient donc deux !

J’en perdais la boussole et toute notion du temps, je me faisais ramoner comme une chienne en me faisant traiter de tous les noms possibles et j’étais excité.

Presque de concert, les deux sexes se vidèrent en moi, mon garagiste dans ma bouche et l’inconnu dans mon cul. Une fois, purgée les deux queues sortirent de leur écrin de chair, je me sentais rempli de jus. J’entendis des braguettes se refermer et on me donna l’ordre de rester immobile.

Quelques minutes plus tard il enleva mon bandeau et me demanda si j’avais aimé sa surprise. Je lui répondis que oui j’avais été très surpris. En partant, il me rappela d’être là à 19 h précise et de ne pas être en retard. Puis imposa sa volonté quant à ma tenue, seulement l’ensemble lingerie et talons, couettes et mon rouge à lèvres …

Comme prévu, j’y retourna avec la tenue demandée, mais il pleuvait ce jour-là. Sur le court chemin entre ma voiture et le garage, je vis des passants qui n’avaient pas pu ne pas me regarder, mais finalement, cela ne me gêna pas vraiment. J’étais toute trempée quand j’entrais dans le garage, mon mâle me demanda de tout enlever et de ne garder que mes chaussures à talons.

Comme la dernière fois, il me banda les yeux et m’attacha mes mains avec une corde qu’il avait fixée à un crochet au plafond. Il tendit la corde, me laissant penser qu’il voulait me suspendre, mais non il m’a étiré le plus possible et ensuite il attacha mes chevilles et me fit écarter les jambes au maximum. Je savais qu’il était très excité, car dans ces cas, il m’insultait sans retenue et c’est ce qu’il était en train de faire. Il commença à me lécher les fesses, ses doigts prirent la relève, et ensuite d’autres objets ont commencé à entrer dans mes fesses (j’ai appris par la suite qu’il avait inséré certains outils de mécano). I me travaillait l’anus, jusqu’à m’élargir la rondelle de plus en plus, alternant ses jouets et sa queue. Au bout d’un moment, je me suis senti mouillé, un liquide chaud me coulait sur les fesses, la queue, le torse et puis a la figure, il me dit « comment tu la trouves ma pisse, elle est bonne salope ou tu préfères celle de mes copains ? Mais de quels copains, il parlait ? Je ne tardai pas à comprendre lorsqu’il me dit « et oui nous sommes 3 ici pour s’amuser sissy, sac à foutre, sac a pisse, on va te remplir les boyaux salope ».

Et un par un, ils commençaient m’enculer en m’insultant, leur sperme me remplissait les tripes, j’avais l’anus dilaté et l’un d’entre eux commença introduire sa main, centimètres par centimètres jusqu’à ce que toute sa main soit entièrement dans mon fondement. Il sortit sa main et me la passa sur visage pour que je lèche leur mélange de sperme tout en nettoyant sa main.

Cela a duré une bonne heure et ensuite ils sont partis, le garagiste m’a détaché, enlevé mon bandeau et dis « Regarde le dégât qui est au sol, tu vas tout nettoyer, prend une serviette et nettoie tout et à quatre pattes » ce que je fis. Tout en nettoyant, je me disais que j’étais vraiment un sac à foutre, une sissy, une pute, bien que je me sentais humilié, au plus profond de moi, j’étais fier et excité.

Une fois, le nettoyage effectué, je voulais remettre ma lingerie, mais le garagiste me dit « tu vas sortir à poil, car ton linge est déjà dans ta voiture ». Comme à la fin de chacune de nos rencontres, il me fixa un nouveau rendez-vous, mais ce coup-ci, un dimanche à 6h. Il me donna une adresse et dicta ma tenue, du moins, si on peut appeler ça une tenue. Je devais arriver nu, avec seulement du rouge à lèvres et des couettes. Je sortis du garage, avec la crainte d’être vu, ainsi nu, mais la chance était avec moi, car je ne croise personne et j’ai pu me rhabiller dans ma voiture.

Le dimanche, je partis bien en avance pour éviter une nouvelle correction en cas de retard et j’arriva au lieu de rendez-vous à 5h30. J’étais devant une propriété avec une grange, il y avait 3 voitures de stationnées, j’avais un peu le trac mais j’attendais 6 h au chaud dans m caisse.

Je vis mon garagiste arriver, mais il n’était pas seul et comme il était presque l’heure, je me dirigeai vers la propriété. La porte de la grange s’ouvrit et mon mâle vint à ma rencontre. Comme j’étais nu, il me tripota les fesses et me dit « tu as aimé la dernière fois, alors aujourd’hui, tu vas adorer, mais d’abord, mets-toi à 4 pattes !

Il me plaça un bandeau sur les yeux et collier, il me tenait en laisse, puis me fit avancer en marchant à 4 pattes. Quelques insultes et coups de pieds aux fesses étaient nécessaires pour me faire avancer, car cette démarche était douloureuse pour mes genoux.

Sans attendre, il m’attacha mains et chevilles, me plaça sur un baril, ce qui me mettait mon cul et ma bouche à la merci de qui le voulait.

Puis un festival d’insultes commença et une première queue rentra dans ma bouche, suivie par une seconde qui me baisait le cul. Les hommes présents alternaient entre lèvres et anus, chacun leur tour, puis j’ai eu le droit à des éjaculations à la chaîne dans mes deux orifices. Les uns après les autres, ils vidaient leurs couilles tout en me remplissant. Une fois leurs testicules à sec, j’ai ressenti cette douche chaude qui me rappelait celle que m’avait fait subir mon garagiste, désormais, il me vidait leur vessie dessus. J’entendis mon garagiste dire « je vous l’avais dit qu’on aurait bien du plaisir avec cette pute et en plus c’est gratuit, profitez en les gars » …

Je pensais qu’il fois les hommes soulagés, je serais libéré, mais c’était sans compter sur l’effet de groupes qui pousse les hommes à être prêt à recommencer. Alors, je leur servi encore de trous à baiser et ce, pendant plus de 5 heures. Je ne comptais plus les éjaculations que mon corps contenait.

J’étais souillé comme je ne le pensais pas possible, lorsque mon garagiste me détacha. En guise de félicitations, il commença à me sucer, mais il n’a fallu que quelques secondes pour que je me soulage, tant j’étais déjà au bord de l’orgasme. Il remonta vers mon visage pour m’embrasser, je pensais que c’était une marque d’affectation, mais ce n’était qu’un moyen pour me faire avaler mon jus qu’il avait en bouche. Il enleva mon bandeau et me dit qu’il était fier de moi, mais que j’avais assez servi et que je pourrais rentrer me repose

Nos jeux ont continué durant presque 3 ans et c’est grâce à ces expériences avec lui que j’ai découvert le plaisir dans l’humiliation, l’abandon de soi, les jeux extrêmes et surtout le plaisir d’être une sissy.

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